Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
720 652
Membres
1 040 807

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Boris Quercia

Auteur

27 lecteurs

Activité et points forts

Classement dans les bibliothèques

Diamant
2 lecteurs
Or
9 lecteurs
Argent
7 lecteurs
Bronze
8 lecteurs
Lu aussi
5 lecteurs
Envies
12 lecteurs
En train de lire
0 lecteurs
Pas apprécié
2 lecteurs
PAL
12 lecteurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.5/10
Nombre d'évaluations : 14

0 Citations 8 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Boris Quercia

Sortie France/Français : 2021-10-01

Sortie Poche France/Français : 2023-05-11

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Anne2702 2016-03-06T19:47:21+01:00
Tant de chiens

Ce livre m'a perturbée car je suis sortie des livres que je lis habituellement. L'histoire est écrite différemment et j'ai beaucoup apprécié. J'ai aimé ce policier qui n'a pas de chance et à qui tout arrive par hasard. Ce livre est émouvant par certains aspect et noir très noir. On n'en ressort pas indemne une très bonne surprise....

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Moumik 2017-07-27T22:21:54+02:00
Tant de chiens

Policier brut et cru. Belle découverte.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-08-02T22:56:53+02:00
Tant de chiens

Direction le Chili à la découverte d'un de ses flics : Santiago Quiñones qui se trouve en fâcheuse posture, les balles des narcotrafiquants sifflant au-dessus de sa tête, un rottweiller qui s'en prend à son partenaire, Jiménez…

Quand Quiñones s'en sort sans une égratignures, c'est pour apprendre que son partenaire est mort et qu'il avait les boeufs-carottes des Affaires Internes sur le dos.

Ce petit roman noir est un concentré de noirceur sur la vie au Chili. En peu de mots, de phrases, de réflexions (de Santiago ou d'autres), de pages, l'auteur survole ce qui ne va pas dans son pays et on parle de la corruption, de la misère des gens, de la pédophilie, des trafics de drogues, des gens désabusés, du sort des mapuches, des flics ripoux, des politiciens véreux…

Le style de Boris Quercia ne fait pas dans la dentelle et appelle un chien un chien et ces derniers seront nombreux dans ce court récit, tant les gens ont des vies de chiens.

Les phrases sont courtes, sèches, mordantes comme les canines acérées d'un chien, piquantes comme des épines de cactus.

L'enquête de Santiago Quiñones est courte, rythmée, remplie de chausse-trappes, de pièges, de drogues, de saloperie, le tout distillé à la goutte près, de la came pure, non coupée, en somme.

Quant à notre flic, il est comme je les aime : ténébreux, pas toujours réglo, qui boit sans virer à l'alcoolo, qui ne crache pas sur une ligne de coke à l'occasion ou à se faire tailler une pipe dans des toilettes sales.

Un portrait noir mais pourvu de quelques lumières car s'il n'est pas tout noir, il n'est pas tout blanc non plus, notre flic. En tout cas, Santiago est lucide et le regard qu'il porte sur la société est servi dans sa vérité toute nue.

La ville est aussi un personnage principal avec ses rues, ses habitants, sa pollution, ses salauds, ses pédophiles, ses trafics en tout genre. Une ville qui charrie encore son poison dans ses rues, elle qui a du mal à se remettre de la dictature.

J'ai apprécié aussi que l'histoire ne parte pas dans le sens où je l'avais cru et qu'à un moment donné, tout en gardant ses protagonistes, elle bascule vers autre chose dont nous n'aurons le fin mot que dans les dernières pages, celles qui arrivent trop vite tant on aurait aimé prolonger le voyage.

Un petit roman noir corsé, une enquête qui sert de trame à présenter ce qui ne va pas dans le pays, à nous en brosser un portrait peu flatteur, une enquête rythmée, sans temps mort, avec quelques scènes de sexe pour faire passer tout cela.

Une plume sèche, qui va droit au but et qui nous emporte directement au Chili.

Des personnages haut en couleur, des femmes fatales, des balles qui sifflent, une situation sociale de merde, des flics ripoux, de la violence non gratuite, de la drogue, des pipes, du sexe, des coups de pieds dans la fourmilière, des coups dans la gueule, des embrouilles, des magouilles, de l'horreur abjecte, des vérités vraies, …

C'est du costaud, cette came de 199 pages concentrée et non coupée.

Bref, du hardboiled comme on l'aime : intelligent, brutal, sans fioritures et servi, cette fois-ci, avec une petite sauce chilienne bien piquante. Et on avale tout et on en redemande.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Irene-Adler 2018-12-30T08:54:27+01:00
La légende de Santiago

Me voici revenue du Chili où j’ai été enquêter sur des crimes lâches avec Santiago Quiñones.

Au passage, j’ai sniffé de la coke, subit un tremblement de terre, pris des coups dans la gueule, euthanasié son beau-père avec un coussin, cassé la gueule d’un pauvre innocent, et j’en passe.

C’est comme ça lorsqu’on suit les pas de Santiago Quiñones, on ne sait jamais trop dans quoi on va s’embarquer, juste que ce sera un truc assez barge, à la limite de la légalité, qu’on passera la ligne rouge de nombreuses fois car notre flic n’en est pas à une près. Je connais l’animal, ce n’était pas ma première.

Niveau enquête, on ne peut pas dire non plus qu’on s’est foulé, Santiago et moi… Pas trop vite les gars, on ne se cherche pas du boulot non plus. Que les petits jeunes se fassent les dents sur les enquêtes, ils ne sont pas encore blasés, eux…

Santiago Quiñones est un flic chilien qui n’entre dans aucune catégorie… Oubliez les fins limiers tels Sherlock Holmes, Hercule Poirot, Columbo et même Navarro, notre policier n’a rien reçu en héritage de ceux-là.

Les promotions ne sont pas pour lui, il est bordeline, ne s’embarrasse pas avec les règlements, sniffe de la coke volée, trompe sa femme, est un électron libre, vous montre un visage impassible en toutes circonstances et est poursuivi par sa "légende noire", comme il l’appelle.

On ne se plonge pas dans un récit de Boris Quercia pour lire une enquête policière digne de ce nom : son flic est blasé, il n’enquête pas trop fort pour certains délits, bien que pour d’autres, il soit prêt à tuer les coupables, mais ce n’est pas en surchargeant ses narines de poudre blanche qu’on résout une affaire.

En fait, on lit l’auteur pour découvrir un portrait de la ville de Santiago du Chili comme aucun Tour Opérateur ne vous montrera. Avec Quiñones pour guide, on passe de l’autre côté du décor de carte postale et on explore les faces cachées et sombres de la faune chilienne.

La première fois qu’on lit Quercia, on pourrait être perturbé par ses multiples retours en arrière afin d’explorer la vie de ses personnages, mais une fois qu’on a pris le pli (il vient très vite), on s’amuse de cette manière de faire redescendre l’adrénaline et de faire durer le suspense.

Pas de temps mort, même lorsque notre flic est face à sa mère qui ne se remet pas de la mort de son second mari, même face à ses problèmes avec son demi-frère qu’il vient de rencontrer ou face à ses aventures sexuelles assez folles (on est vachement plan-plan face à Santiago !!) ou ses soucis avec le contrôle anti-dopage.

C’est toujours avec brio que l’auteur relance la machine, sans qu’elle s’essouffle et sans faire d’esbroufe car les emmerdes qui surgissent dans la vie de Santiago suffisent à alimenter la machine, le tout pimenté de soucis avec un peu tout le monde, que ce soit des bandits, des flics, sa mère ou des femmes un peu trop fatales.

Les 250 pages passent trop vite et on se surprend, au moment de tourner la dernière page, d’en redemander encore un peu plus. Merde, c’est fini…

Un roman brutal, sombre, violent, dont le personnage principal par en long dérapage incontrôlé et voit sa vie de merde partir en couilles sans qu’il ne puisse rien faire d’autres que de s’enfoncer un peu plus dans les ennuis car c’est plus fort que lui, Santiago a un côté destructeur.

Un flic torturé, déglingué, cynique, sarcastique, adepte de sexe et de coke, sans oublier les cigarettes et qui voit sa ville changer sous ses yeux, avec l’augmentation de la pédophilie, la montée de la xénophobie et des extrémistes en tout genre, prêt à tout pour rendre le Chili aux Chiliens.

Allez, je pourrai encore un peu profiter de mon flic borderline avec le premier tome de la trilogie, le seul que je n’aie pas encore lu (Les rues de Santiago).

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-05-27T19:05:41+02:00
Les rues de Santiago

Vous connaissiez "Les rues de San-Francisco" et maintenant, on vous transpose la série au Chili pour en faire « Les rues de Santiago ».

Problème d’interprétation : les rues sont-elles celles de la ville chilienne ou celles du policier Santiago Quiñones ?

Puisque j’avais commencé la trilogie de Quiñones par le tome 2 puis le tome 3, je me devais de la clôturer par le premier tome pour boucler la boucle et le découvrir un peu moins borderline que dans les suivants.

Juste un peu moins, je vous rassure de suite.

Santiago Quiñones est fidèle et égal à lui-même : un flic qui n’obéit à personne, qui mène ses propres investigations, selon ses méthodes, qui n’hésite jamais à sniffer un rail de coke, à boire de l’alcool, à baiser des femmes et à se foutre dans les emmerdes.

Après avoir fait un carton – sans le vouloir – sur un membre d’un gang, le voilà qui décide de suivre une jolie fille aux dents de travers. Oui, désolé, certains mecs aiment les gros nibards, d’autres les gros culs (ou les petits), mais Santiago ♫ hissez haut ♫ aime les filles aux dents de travers.

Santiago, c’est le flic qui aime aussi te raconter sa vie au travers de ses introspections, tout en parcourant sa ville, te la faisant découvrir par le petit bout de la lorgnette, autrement dit, basta les cartes postales, c’est le Chili brut que tu découvres.

Un meurtre qui arrive presque par hasard, une enquête qui n’en est pas tout à fait une, un Santiago dépassé, flouzé, sa tête mise à prix, ses hormones sexuelles bouillonnantes et la bite fièrement dressée qui va nous mener sur la solution presque sans le vouloir car sa manière d’enquêter reste atypique.

Un roman noir qui ouvre la trilogie d’une belle manière, un roman noir qui se lit très vite, sans pause, sans reprendre sa respiration, avec quelques notes d’humour noir. C’est dense, rythmé, sans que l’on ait le temps de s’ennuyer ou de trouver le temps long.

Un roman noir urbain qui fleure bon le polar hardboiled, la drogue, l’alcool, la poudre de révolver et le sexe, le tout porté par un flic désabusé, parfaitement humain, authentiquement humain, même, mais qui peut partir en vrille en quelques secondes avec tout les risques que cela comporte pour celui qui se retrouvera devant la gueule noir de son flingue.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Goupilpm 2020-02-14T10:39:01+01:00
Les rues de Santiago

Dans ce court roman qui se déroule au Chili, l'on suit le quotidien d'un flic atypique dans les rues de la capitale. Après avoir participé à l'arrestation d'un gang où il à malencontreusement abattu un adolescent de quinze ans, le vague à l'âme Santiago Quinones suit dans la rue une jeune femme sans ce douter que cette filature qui n'en est pas une à proprement parler va l'entraîner au centre d'une affaire d'arnaque à l'assurance.

Le meurtre d'un détective privé, ancien policier que Santiago connaissait va donner lieu non pas à une enquête mais permettre à l'auteur de nous narrer la dureté de la vie des flics dans une capitale chilienne où se côtoient flics ripoux, avocats véreux, escrocs et trafics de drogue.

L'intrigue policière n'est ici qu'un prétexte à faire ressortir une ambiance particulière, très sombre. Malgré le peu d'action, l'histoire essentiellement centrée sur le personnage central nous entraîne dans une aventure urbaine rythmée. La ville est très peu décrite, seuls les noms de quelques endroits et rues sont cités : de la ville le lecteur n'apprendra rien.

Pas non plus de nombreux personnages, mais l'auteur nous dresse un portrait très fouillé du policier.

La plume de l'auteur est vive, sèche, les phrases sont coutres, le style est agressif voire à certains moments vulgaire.

Un très bon roman noir qui se lit très vite, c'est dense, rythmé, à aucun moment l'on ne s'ennuie.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par cocon94 2022-05-16T13:00:29+02:00
Les rues de Santiago

Ne pensez pas trouver un policier héroïque pur et dur ; rien de tel ici. Juste un être humain, c'est-à-dire faillible, un peu perdu, vulnérable.

Santiago Quinones, déstabilisé après avoir tué un jeune lors d'une arrestation qui a mal tourné, se trouve mêlé au meurtre d'un ancien collègue par hasard. Mais ses états d'âme prennent le pas sur l'enquête qui se déroule presque d'elle-même.

Sans trouver Santiago complètement antipathique, on a du mal à éprouver de l'empathie à son égard.

Plutôt roman noir (on coche toutes les cases) que polar à proprement parlé, cette histoire se lit vite mais ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Afficher en entier

Dédicaces de Boris Quercia
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Asphalte : 4 livres

LGF - Le Livre de Poche : 3 livres

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode