Charlotte Delbo
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Note moyenne : 7.82/10Nombre d'évaluations : 34
0 Citations 24 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un magnifique livre qui démontre toute l'horreur de cette époque à travers le quotidien des déportés.
Afficher en entierc'est un livre qui m'a marquée au fer rouge, que je peux que recommander à toute personne ayant le courage de se confronter à cela. Car bien que ce ne soit que des mots sur du papier, ça n'est vraiment pas facile de se confronter à ça. Je ne le mets pas en diamant, ni en or, bien qu'il le mériterait, car je ne l'envisage pas comme un lire qu'on peut noter, mais comme un témoignage que tout le monde devrait lire et qui devrait tous nous nourir. Car un peuple qui oublie son passé est condamné à le revivre.
Afficher en entierCeci n'est pas un récit unique, mais des textes... Vignettes, images, scènes de l'Horreur dépeintes dans une poésie sans pareil. Le contraste est aussi terrible qu'intéressant. La puissance des mots de C. Delbo ne vous laisse pas indemne.
Afficher en entierUne lecture instructive qui présente un point de vue intéressant sur la responsabilité et les choix de chacun durant la guerre
Afficher en entierUne lecture marquante où l'autrice nous raconte des moments de la vie dans les camps. Ce n'est pas un récit avec une histoire que l'on suit, ce sont des scènes de la vie quotidienne des prisonnières.
Afficher en entierCe livre n'est pas très utile à moins que se soit en demande de votre établissement scolaire. Je n'est absolument pas aimé car, je trouve qu'elle divague beaucoup. Par exemple, une fois elle écris en prose et une autre sous forme de poésie. Ou bien une fois elle nous parle de son passer et l'instant d'après elle nous parle de son présent. Après pour les personne aimant les textes n'ayant ni queue ni tête, ce livre est fais pour vous.
Afficher en entierUne lecture datant d'il y a quelques années déjà quand je suis entrée en fac de lettres. Un témoignage renversant et bouleversant mais nécessaire pour prendre la mesure de l'horreur qui fut commise.
Afficher en entierJe n'ai définitivement pas accroché à ce livre pourtant j'apprécie beaucoup les livres parlant de faits et d'histoires. Des livres qui nous racontent ce qu'il s'est passé et qu'on espère ne se passera plus.
Mais la forme de ce livre en mélange de prose et de poésie avec ses images froides et distantes ne m'ont pas permis de me plonger dans toute la dureté de ce qu'il est sensé nous transmettre et j'en suis particulièrement déçue. Ma sensibilité n'a même pas été caressé par ce récit et je ne le conseille pas car je le trouve aussi blanc que la neige sur le camp.
Afficher en entierUn livre marquant sur l'horreur d'Auschwitz.
Afficher en entierUn témoignage que l'on m'avait depuis longtemps chaudement recommandé. Je l'ai lu d'une seule traite, mais également en "apnée"...
L'écriture est tout simplement magnifique ; c'est elle qui nous aide à transcender l'aspect glaçant et indicible du récit.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Charlotte Delbo
et autres évènements
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Editeurs
Les Editions de Minuit : 5 livres
Berg International : 1 livre
Flammarion : 1 livre
BERG : 1 livre
Biographie
Charlotte Delbo (Vigneux-sur-Seine, 1913 - Paris, 1995). Elle adhère à la Jeunesse communiste en 1932 et rencontre Georges Dudach en 1934, qu'elle épouse. Assistante de Louis Jouvet, de 1938 à 1941, jusqu'au départ du comédien, en mai 1941, pour une tournée en Amérique latine. Avec son mari, elle entre dans la Résistance en 1941 et fait partie du « groupe Politzer », responsable de la publication des Lettres françaises dont Jacques Decour était rédacteur en chef. Ils sont arrêtés le 2 mars 1942 et Georges Dudach sera fusillé au Mont Valérien, le 23 mai 1942, à l'âge de 28 ans. D'abord incarcérée à la Santé, à Paris, elle est transférée à Romainville, le 24 août 1942, avant d'être déportée à Auschwitz, par le convoi du 24 janvier 1943 - un convoi de 230 femmes dont elle racontera le destin, après la guerre. Elle est l'une des 49 femmes rescapées de ce convoi et portera, le reste de sa vie, le numéro 31661 tatoué sur le bras. Par la suite, elle est envoyée à Ravensbrück le 7 janvier 1944. Libérée par la Croix-Rouge le 23 avril 1945, elle est rapatriée en France en passant par la Suède. Après la guerre, Charlotte Delbo travaille pour l'O.N.U. puis, à partir de 1960, au C.N.R.S., devenant la collaboratrice du philosophe Henri Lefebvre.
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