Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Susan George, à la fois citoyenne française et américaine, est une écrivaine, militante altermondialiste et la présidente d’honneur d'ATTAC.
Née aux États-Unis en 1934, Susan George vit depuis longtemps en France et a acquis la nationalité française en 1994. Après des études de littérature française et de sciences politiques au Smith College de Northampton (Massachusetts), elle vient s'installer à Paris, se marie, a trois enfants, puis reprend ses études et obtient une licence de philosophie à La Sorbonne en 1967. Après la publication de son premier livre en 1976, elle s’inscrit à l'École des hautes études en sciences sociales, où sa thèse en sciences politiques sur le transfert du système alimentaire américain au reste du monde obtient la mention « très honorable » en 1978
« On ne promet pas la lune. On ne dit pas que l'on a réponse à tout, mais l'on a des solutions. Notre but est de faire des sociétés décentes et rationnelles où les gens vivent à peu près bien, où il y a relativement peu d'inégalités, et où à peu près tout le monde a un emploi, est bien soigné et peut offrir une bonne éducation à ses enfants. »
— Susan George, Susan George au Devoir - Récompenser les coupables, punir les victimes[2]
Susan George est très engagée dans les combats internationaux. Elle se sert notamment de ses livres pour communiquer ses idées.
Elle a participé à la fondation du Transnational Institute à Amsterdam et en est maintenant Présidente du Conseil[2]. Elle a été au centre de la coordination rassemblant l’ensemble des mouvements français contre l’AMI (Accord multilatéral sur les investissements) et pour la réforme de l'OMC. Elle a été présidente de l’Observatoire de la mondialisation aujourd'hui dissous, et a été membre du Conseil d’administration de Greenpeace International et de Greenpeace France, de 1990 à 1995. Elle est enfin membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Plusieurs dizaines de ses articles en anglais et en français sont disponibles sur son site (http://www.tni.org/george ) du Transnational Institute.
Personnalité fondatrice de la première organisation Attac depuis sa création à Paris en 1998, elle a écrit un livre Attac sur l'OMC[3] et a été vice-présidente d'Attac France et membre de son Bureau de 1999 à 2006. En 2005-2006, elle a joué un rôle important dans le mouvement de remise en cause de son ancienne direction en appelant notamment à deux reprises à voter pour une liste de ses opposants et en protestant contre la fraude avérée concernant les élections de juin 2006 à son Conseil d'administration. Depuis le remplacement de l'ancienne équipe par des dirigeants en accord avec ses conceptions, Susan George a demandé à ne plus participer à la direction d'Attac France, restant seulement membre de son collège des Fondateurs et de son conseil scientifique. En 2003, le conseil d'administration d'Attac la nomme présidente d'honneur.
En 2011, elle présente la conférence d'ouverture de la deuxième édition de l'université d'été des Nouveaux cahiers du socialisme tenue à l'Université du Québec à Montréal[.
Biographie
Susan George, à la fois citoyenne française et américaine, est une écrivaine, militante altermondialiste et la présidente d’honneur d'ATTAC.
Née aux États-Unis en 1934, Susan George vit depuis longtemps en France et a acquis la nationalité française en 1994. Après des études de littérature française et de sciences politiques au Smith College de Northampton (Massachusetts), elle vient s'installer à Paris, se marie, a trois enfants, puis reprend ses études et obtient une licence de philosophie à La Sorbonne en 1967. Après la publication de son premier livre en 1976, elle s’inscrit à l'École des hautes études en sciences sociales, où sa thèse en sciences politiques sur le transfert du système alimentaire américain au reste du monde obtient la mention « très honorable » en 1978
« On ne promet pas la lune. On ne dit pas que l'on a réponse à tout, mais l'on a des solutions. Notre but est de faire des sociétés décentes et rationnelles où les gens vivent à peu près bien, où il y a relativement peu d'inégalités, et où à peu près tout le monde a un emploi, est bien soigné et peut offrir une bonne éducation à ses enfants. »
— Susan George, Susan George au Devoir - Récompenser les coupables, punir les victimes[2]
Susan George est très engagée dans les combats internationaux. Elle se sert notamment de ses livres pour communiquer ses idées.
Elle a participé à la fondation du Transnational Institute à Amsterdam et en est maintenant Présidente du Conseil[2]. Elle a été au centre de la coordination rassemblant l’ensemble des mouvements français contre l’AMI (Accord multilatéral sur les investissements) et pour la réforme de l'OMC. Elle a été présidente de l’Observatoire de la mondialisation aujourd'hui dissous, et a été membre du Conseil d’administration de Greenpeace International et de Greenpeace France, de 1990 à 1995. Elle est enfin membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Plusieurs dizaines de ses articles en anglais et en français sont disponibles sur son site (http://www.tni.org/george ) du Transnational Institute.
Personnalité fondatrice de la première organisation Attac depuis sa création à Paris en 1998, elle a écrit un livre Attac sur l'OMC[3] et a été vice-présidente d'Attac France et membre de son Bureau de 1999 à 2006. En 2005-2006, elle a joué un rôle important dans le mouvement de remise en cause de son ancienne direction en appelant notamment à deux reprises à voter pour une liste de ses opposants et en protestant contre la fraude avérée concernant les élections de juin 2006 à son Conseil d'administration. Depuis le remplacement de l'ancienne équipe par des dirigeants en accord avec ses conceptions, Susan George a demandé à ne plus participer à la direction d'Attac France, restant seulement membre de son collège des Fondateurs et de son conseil scientifique. En 2003, le conseil d'administration d'Attac la nomme présidente d'honneur.
En 2011, elle présente la conférence d'ouverture de la deuxième édition de l'université d'été des Nouveaux cahiers du socialisme tenue à l'Université du Québec à Montréal[.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Susan_George
Afficher en entier